
Simon Rousseau
Ce spectacle se veut une lettre d’amour destinée à la discipline de l’improvisation.
J’adore l’improvisation! Je lui dois beaucoup. Je suis de ceux qui lui doivent son éveil à la culture. J’ai découvert la LNI à la télévision sur les ondes de Radio-Québec, ce fut un coup de foudre. Toutefois, ce n’est qu’au Cégep que j’enfilerai un chandail de hockey pour improviser. C’est l’improvisation qui m’amènera au théâtre. Dans ce même Conservatoire d’art dramatique où nous nous retrouvons aujourd’hui, j’apprendrai à improviser en cercle sans durée ni contrainte. Ensuite, l’improvisation ne me quittera jamais. Dans ma carrière de comédien, d’enseignant, de joueur ou d’arbitre. Je tiens à saluer les personnes que j’ai croisées le temps d’un show ou de nombreuses saisons. Avec ce spectacle, j’avais envie de rendre hommage au théâtre improvisé. J’avais aussi envie de faire un spectacle libre, sans aucune consultation. Seules les relations développées entre les personnages permettront de raconter l’histoire que vous verrez ce soir.
Je veux remercier tous ceux qui ont rendu ce spectacle possible, dont Geoffrey Gaquère et le Conservatoire d’art dramatique de Montréal, qui nous ont accueillis. Mais, avant tout, mon équipe, je vous dois absolument tout!
Simon Rousseau
Ce spectacle se veut une lettre d’amour destinée à la discipline de l’improvisation.
J’adore l’improvisation! Je lui dois beaucoup. Je suis de ceux qui lui doivent son éveil à la culture. J’ai découvert la LNI à la télévision sur les ondes de Radio-Québec, ce fut un coup de foudre. Toutefois, ce n’est qu’au Cégep que j’enfilerai un chandail de hockey pour improviser. C’est l’improvisation qui m’amènera au théâtre. Dans ce même Conservatoire d’art dramatique où nous nous retrouvons aujourd’hui, j’apprendrai à improviser en cercle sans durée ni contrainte. Ensuite, l’improvisation ne me quittera jamais. Dans ma carrière de comédien, d’enseignant, de joueur ou d’arbitre. Je tiens à saluer les personnes que j’ai croisées le temps d’un show ou de nombreuses saisons. Avec ce spectacle, j’avais envie de rendre hommage au théâtre improvisé. J’avais aussi envie de faire un spectacle libre, sans aucune consultation. Seules les relations développées entre les personnages permettront de raconter l’histoire que vous verrez ce soir.
Je veux remercier tous ceux qui ont rendu ce spectacle possible, dont Geoffrey Gaquère et le Conservatoire d’art dramatique de Montréal, qui nous ont accueillis. Mais, avant tout, mon équipe, je vous dois absolument tout!